Pour un changement de paradigme politique à l’Assemblée nationale
L’Udbn promet des concertations sociales avant toute législation
La campagne électorale se poursuit sur le terrain et chaque chapelle politique tente de convaincre les électeurs sur la pertinence de la démarche qu’elle entend mettre en œuvre une fois que son parti sera représenté au parlement. C’est le cas par exemple du parti Udbn qui, depuis le lancement de la foire électorale, ne cesse d’innover par la qualité des propositions tout aussi variées que pertinentes qu’il ne cesse de faire aux populations. Au nombre de ces propositions alléchantes, on peut souligner avec insistance que le parti de la dame de fer Claudine Afiavi Prudencio propose de, désormais, précéder toute proposition de loi à l’Assemblée nationale, d’une concertation sociale. Autrement dit, les députés Udbn qui siégeront au sein de la 9ième législature à l’Assemblée nationale prennent d’ores déjà l’engagement de ne faire aucune proposition de loi au parlement sans le consentement du peuple. Une nouvelle démarche politique qui au-delà de sa nouveauté entend mettre le peuple au cœur de la législation. A travers cette démarche politique nouvelle qui rime aisément avec les réels fondements d’une démocratie représentative, le parti Union Démocratique pour un Bénin Nouveau a pour seule ambition de fonder les lois sur les données probantes de la population et de légiférer sur la base de leur vécu. Il s’agit donc de voter au parlement des lois qui correspondent le mieux aux désidératas de la population et d’ouvrir le parlement au peuple. Le parti Union Démocratique pour un Bénin Nouveau, se veut donc être un parti de rupture qui entend rompre avec cette monotonie qui crée une sorte de déphasage flagrant entre le peuple et les députés. Un déphasage qui ne devrait pas l’être, mais qui l’est du fait d’un dysfonctionnement politique que l’Udbn entend corriger. Le parti Udbn invite tous les béninois à lui faire confiance car voter Udbn, c’est faire le choix d’une gouvernance parlementaire axée sur les réelles préoccupations du peuple.
Stéphane AHINOUHOSSOU
